Dans une déclaration commune au lendemain de la marche du 27 septembre, l'Alliance pour la démocratie et le Progrès (ADP) et le Collectif des partis politiques pour la finalisation de la transition ont demandé à la communauté internationale de jouer un rôle pour que le dialogue entre le gouvernement guinéen et les deux blocs des opposants soit renoué en vue de préparer les élections législatives dans un climat apaisé.
Ce lundi 3 octobre, quelques membres des institutions républicaines, avec a la tête Monseigneur Albert Gomez du CNT ont formé un «Comité de médiation» qui est allé à la rencontre de l’opposition.
Les opposants de l’ADP et du Collectif avaient posés pour conditions pour revenir à la table du dialogue, «l’arrêt des exactions et la libération immédiate et sans condition de toutes les personnes arrêtées, la suspension de toutes les activités de la CENI sur le processus électoral».
Sidya Touré, le Président de l’UFR et porte-parole du Collectif, a dit aux membres de la délégation des institutions républicaines que l’ADP et le Collectif vont se consulter et donner une suite à la démarche du Comité de médiation.
AfricaLog.com