Alors que les soupçons pèsent sur les autorités de la transition et la CENI pour son incompétence dans la gestion du processus electoral devant aboutir a la sortie de crise, sur les ondes d’une radio internationale M. Jacques Gbonimey, chargé du département Formation et procédure juridique de la Céni, a dédramatisé l’incendie.
Il indique que ce sont plutôt quelques urnes destinées aux élections législatives qui ont été consumées par le feu.
Il a déclaré : « Cela ne remet pas en cause le processus entamé pour le deuxième tour. Le matériel qui était-là était réservé pour les élections législatives qui doivent avoir lieu après les élections présidentielles.»
Jacques Gbonimey reconnaît qu’il y a eu « des kits brûlés. Le kit qui contient la quincaillerie électorale, des urnes brûlées. Mais les urnes devant servir au second tour n’ont pas été touchées ainsi que tous les documents et formulaires électoraux qui étaient à part dans un autre magasin. Cela n’affecte pas le second tour. » a-t-il conclu.
L’origine de l’incendie reste floue et une enquête ne semble pas à l’ordre du jour. – AfricaLog